LA PAVEINTAVURE,
UN AUTISME PICTURAL ?
(suite)

 

" Pardon monsieur, c'est bien ici qu'on élève des hamsters ? "

Il ne put répondre, une peur panique l'envahit et il grimpa quatre à quatre les escaliers avant de s'enfermer chez lui, essouflé et tremblant.

La panique.

Derrière sa porte close, il réfléchit rapidement :
" Soit cette dame existe et c'est une sorcière, soit elle n'existe pas et je suis en train de devenir marteau "
L'aile de la folie lui caressait doucement les cheveux ; le lendemain, il prenait rendez-vous chez un psychothérapeute.

Ainterrogation.

Ainsi se termine cet extrait qui pose bien le problème et que l'on pourrait résumer ainsi :
La quète obstinée de la liberté (symbolisée ici par l'impossible paveintavure) peut se transformer en une nouvelle aliénation qui vous empêchera de faire, sans distraction, quoi que ce soit d'autre.

Le plastichien sous le choc.

L'avantage, de cette nouvelle aliénation sur la précédente, est que celle-ci, vous l'avez choisie.
C'est une vraie différence, vous êtes toujours malheureux mais vons ne perdez plus votre précieux temps.
Etes vous encore un être humain ?
That is the question.

La " sorcière " triomphante.

 

 

 

 

La roue du hamster illustrera notre propos de chambre froide.
Et maintenant suivez le hamster, jovial par intermittences !

 
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