Le catholicisme subjectif :

Les curés

Et des curés de base, gardiens et garants de l'ordre divin mais si totalement humains que c'était à ne pas croire.
D'ailleurs tout était bizarre, comme ces gens du pays connus pour leur dureté et qui prenaient subitement des airs de bonté généralisée en entrant dans l'église afin d'y chanter (faux, bien souvent) des cantiques évaporés.
"Amour, amour, amour !" là encore, à force de le répéter, on finit par s'en persuader ; pas moi, ou alorsil aurait fallu plus d'encens et de fumées orientales, plus de musiques célestes, plus d'or et de lumière, enfin un vrai et beau spectacle avec de l'énergie et de la joie.
Là c'était trop riquiqui, trop frileux, trop petit, trop mou pour que ça marche.

Ajouter à cela quelques pratiques archaiques et terrorisantes comme de plonger les bébés dans l'eau froide ou, bien plus étrange et barbare, le confessionnal, invention d'un esprit tordu qui a appris le mensonge à des myriades de bambins apeurés.

Et pour finir en apothéose, par une sorte de cannibalisme rituel :
"je bois ton sang, je mange ton corps" qui m'a privé de sommeil pendant longtemps.

Voilà pour les traumatismes, heureusement, il y avait les saints et leur incroyables aventures...

 

 

Groupe de curés

 
 

 

L'abbé Chamel,
confesseur intransigeant mais qui laisse quand même venir à lui les petits enfants (blonds de préférence).


Un de nos vaillants missionaires,
le révérend-père Defaisse familièrement surnommé "le pére-cul" par ses sombres ouailles musiciennes.

 

Le terrorisant confesseur.

Mais n'est pas saint qui veut !

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