Jean Culle
aperçu biographique


Jean Culle à la tribune

 

 

Jean Culle (le grand philosophe) est né, c'est sûr et c'est déjà une chance incroyable, pensons en passant à tous ceux qui ne sont pas nés comme les pauvres escalopes et certains poissons rectangulaires sans têtes.
Après il a grandi en force et en sagesse comme nous tous mais plus vite encore que les autres car il pensait sans cesse du soir au matin.
A quoi ? A tout et à rien, mais intensément et avec précision.

Jean Culle bébé, le même dans sa jeunesse pas folle puis dans la force de l'âge.

Il reconnut sa vocation dans un film français délicat où une actrice, fictivement professeur de philosophie expliquait, pour rèpondre aux questions vaguement ironiques sur son "activité" philosophique :
" Je pense à ce que je pense !"

Jean Culle en famille, Jean Culle à la montagne, et Jean Culle à la mer aussi.

Cette apparente et possible tautologie ouvrit toute grande au jeune Jean "sa" voie royale comme la gelée et gelée comme elle.
Depuis, il pense à ce qu'il pense et à ce que pensent les autres.
Il n'a pas été sans remarquer beaucoup d'à peu près, d'incohérences, de fausses questions sans réponses et de vrais mensonges dans ce qu'il entend mais cela ne semble gêner personne.
Il lui vint un immense soupçon.

 

Jean Culle est solitaire, il aime être avec les animaux car il est comme eux, il n'a pas d'histoire


Jean Culle aime donc le camping, mais sauvage


Jean Culle est bavard surtout quand le veau dort

 

 

 

 

La contusion (pardon, la confusion) était générale.
Pour ne pas en être la victime, il s'enveloppa dans la dite confusion et s'en fit un drapeau, une panière (pardon, une bannière), un "étant d'art" dirait le plastichien, un "étang-dard" dirait un obscur poète.
Il s'en recouvrit complètement (sauf son derrière) et prit refuge dans l'absurdité au jasmin comme le gouda (pardon, le boudha) blanc.
Voilà pour la philosophique jeunesse ; après il rencontra des collègues qui pensaient eux aussi à ce qu'ils pensaient mais sans se la jouer (pardon, se l'avouer, des six déments, pardon, décidemment il me faudrait un secrétaire Louis 15 pour mon français).

Les collègues philosophes de Jean autour de la table carrée. Ensemble ils pensérent leurs plaies puis, toujours pensifs, créèrent le "confusionisme" qui depuis se développe harmonieusement, surtout en Chine continentale.


Jean Culle est passionné et quand il est en colère,
il devient tout vert.

Jean Culle a une grande gueule
et Jean Culle prend des risques, il défendra Peldugland quand il sera violemment accusé de réception
La salle d'audience avec à la gauche de Jean Culle un avocat pas encore marron.

Jean Culle est Peldugland sont amis pour la vie (pour la mort, on verra).
Leur amitié sera e-lustrée par le plastichien dans une paveintavure de circonstance nommée :

 
 

 

" Mes moments avec Jean Culle "

 

 

 

Les vacances en Corse
1) On arrive à Clavi Culle !
2) C'est le terminus Culle !
3) Elle ressemble à Gisèle Halimi Culle !
4) Tu ne manques pas d'air Culle !
5) C'est de la folie Culle !
6) Vous étiez parti Culle ?

L'été urbain
1) Quel renom Culle !
2) Tu n'es qu'un animal Culle !
3) C'est celui qu'on appelait Monty Culle ?
4) Qui se souvient de Guy Mollet Culle ?
5) On va au cani Culle ?
6) On fait une babasse Culle ?

Mondanités
1) Quand finiront ces errements, dis Bulle ?
2) Tu te divertis Culle ?
3) On dirait Eddy Culle !
4) Tu veux du céleris, dis Culle ?

 

 

5) C'est maintenant qu'on opère Culle ?
6) C'est le vent -trrri* - Culle !
-triii- : il fait froid, le héros grelotte, normalement il fait -brrri-, ici il fait -trrri- ; c'est ce qu'on appelle une licence poètique de niveau 4, nous nous l'accordons car nous avons payé pour ça. "

 

Ensemble, Jeau Culle et Peldugland durent résoudre une autre énigme, rue des Vieux-Nibards (vous n'avez pas une loupe ?)

Morceaux fictionnels.

 

 

 

Jean Culle ressent l'impérieux et mystérieux besoin de communiquer avec ses dissemblables, c'est courageux, excitant mais souvent fastidieux car il ne faut pas avoir peur de se répéter.
Le grand philosophe fonce donc, de confus colloques (à terre) jusqu'aux luxueux séminaires aériens, sans oublier les moments " peldu " et les conférences trouvées dans Bonux.

 

LA CONFERENCE

 

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