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Mister Cheddar porte le nom
d’un fromage anglais et c’est normal car il est né à Liverpool.
S'il ne supporte pas le club, il soutient toujours Everton dont il porte
la magnifique écharpe ; avec son copain Laine, ils vont souvent au stade
mais comme celui-ci n’a pas d’argent, c’est Mister Cheddar qui paye et
il dit en souriant :
" Tu n’as vraiment pas un penny, Laine ! "
Les fromages
peuvent maintenant traverser à sec ; cerci la Mourly and Mister Cheddar
!
Ayant lu cette annonce dans
la revue Ta Mouille* :
" Après les Bee Gees, il nous fallait les Big Cheese ", il fût convaincu
et bravant le blocus, rejoignit Lyon, ses deux fleuves et sa tour infernale.
En tant que travailleur immigré dans les Fromages, il porte sur scène
un costume vert pomme acide (modèle Vildelyon) avec des bandes jaunes
fluorescentes sur les côtés.
Dans le groupe, il gagne aussi peu que les autres mais il est bien traité
; il y joue du trombone trop fort et il chante très fort aussi.
Il danse parfois quand surgit la transe et se moque de Bernard Fourme
d’Ambert et de son anglais phonétique et approximatif (cf : Nonsense incubator).
Après " Payday ", un futur hit désargenté, il aurait pu chanter " Oh,
biquet refoule ! " mais il n’en a pas eu le temps, curieusement rappelé
et ramené en Angleterre en sous-marin vert, vert comme la mer cette fois.
* Ta Mouille : la future revue
du futur du spectacle
Quatre garçons
contre le vent.
Looking
for Mr Cheddar ?
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