DENION DE LYON

L'Olympique Lyonnais
(Sport)

" L'O.L est hardi " affirme un des slogans des supporters, c'est aussi notre avis et pour une fois que nous sommes du même avis que les autres, profitons-en et vive le consensus footeux (et douteux).

 

 

 

 

"Et on re-re-refait le match" avec Eugène Sadomaso.

Eugène et ses invités dans le studio :
l'insubmersible Bernard Tapine, l'ex-milieu de tes reins parisien Didier Rouston et notre sage Aimé Couille qui nous régalera de ses analyses.

Vraiment, avec Eugène Sadomaso on rit à s'en crever (les oreilles) !

 

Jean-Pierre Lapin fera quelques " lapinades " en coulisses et un Ain-supportable supporter viendra faire éclater sa frustration programmée en direct.
En écho, et toujours en direct du cerveau reptilien, des auditeurs fiers de l'être viendront répéter quinze fois (minimum) la même chose.
 

 

192 ème de finale de la coupe de France, le film du match truqué :
L'olympique Lyonnais et ses stars rencontre les poussins de l'A.S.M
(Association Sportive de Miribel -Ain- hein !) à domicile mais à l'extérieur car c'est mieux pour faire du sport.

 

 
 

 

Tirage au sort facile pour des professionnels qui étaient trois fois plus gros et plus grands que leurs adversaires à peine sortis de l'enfance.
C'était compter sans " la magie de la coupe " et sans l'inévitable " Petit Poucet " qui profitait de sa taille minuscule pour se faufiler entre les grandes jambes de ses adversaires olympiens pour leur tirer les couilles vers le bas à deux mains.
Impossible de jouer au football dans ces conditions, c'était le bon moment pour faire entrer Bernard Dignaud (qui somnolait sur le banc) et ainsi faire définitivement basculer la rencontre dans le ridicule.
Bernard commença par se débarasser du " petit Poucet " en l'empalant discrètement sur le piquet de corner, une baffe à droite, un coup de crampons à gauche, enfin la hiérarchie était respectée, la prime de match assurée et les vaillants poussins de l'Ain plumés comme des chapons bressans.

Qui ne saute pas, n'est pas lyonnais !
crient les " Polis Gones* ".
C'est exact gone, moi je saute (par la fenêtre).

* Polis Gones : Club de supporters tristes, à ne pas confondre avec les " Holly Gones " bien plus exubérants.

 

Et c'est dans le va-et-vient des civières et les sirènes d'ambulance que tout s'acheva.


Madame Poucette et monsieur
encouragent leur garçon du bord de la pelouse.

 

 
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