Les
peintures de Bertrand Biquet
photographiées avant le vernissage,
après, ce n'est plus possible.
Bertrand
Biquet fait sa publicité
en essayant
de convaincre les visiteurs
qu'il est un génie
mais on ne l'écoute
guère car des génies de nos jours,
il y en a partout.
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Par contre,
côté people, ça assure, nous avons pu reconnaître les adjoints des
adjoints à la culture,
Denion de Lyon (un habitué des lieux d'aisance),
plusieurs fromages bien faits,
un couple de journalistes de L.T.M (Lyon.Ta.Mouille),
un poète normalement inconnu,
quelques jolies filles et même un trio de faux parisiens dans le
couloir.
Et comme
d'habitude, tous ces gentils visiteurs repartent la tête pleine
de couleurs en faisant un foin pas possible et en réveillant tous
les voisins qui crient comme d'habitude :
" Encore
merci la fondation Gellipane ! "
Bertrand
Biquet
attire du monde
comme B.B.
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Les vernissages de la
fondation Gellipane sont comme les réceptions de l'ambassadeur,
toujours réussis.
On n'y mange pas des rochers mais on ne suce pas non plus des glaçons
(d'autres choses, je ne sais pas, on ne peut pas être partout).
L'inauguration de l'exposition de Bertrand Biquet, n'échappe pas
à la rêgle ; on boit, on fume, on cause, on rigole, on fait les
beaux.
" A la fondation Gellipane, on expose que les copains ! "
affirment les envieux.
Comme partout, mais ici, on le dit.
Venus de toute la glomération, les visiteurs se pressent autour
du buffet froid ; c'est l'abondance, il y a même des pistaches*,
profitons-en, ça ne va peut-être pas durer.
Et l'art dans tout ça
?
S'il n'est pas au centre de toutes les préoccupations, il est au
moins au centre de la pièce, bien au chaud dans les locaux portatifs
et miniatures de la Fondation.
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