|  | 
        
          |  | Traversons 
              vite ces résidus de dégazages furtifs, poisseux et collants. Nous commencerons donc à « moins 25 années », qui est le moment 
              où ma vie picturale a commencée : la sirène de peau lisse sous ses 
              écailles luisantes nage langoureusement entre les algues géantes 
              ; le néo-plastichien ne chôme pas (bien qu’il soit justement au 
              chômage).
 |  |     
  
 Il fait des traits qu’il entrecroise avec d’autres tracés jusqu’à saturation 
        en laissant le moins d’espace possible, sans doute la fameuse " peur du 
        vide " , il y succombe totalement jusqu’au jour où sur un côté un peu 
        de vide subsiste car il avait posé là son assiette du petit-déjeuner.
 C’est insupportable et pourtant il ne remplit pas cet espace minuscule 
        et bizarrement inoccupé.
 
 Le plastichien 
        qui s'ignore encore sort parfois faire une petite crotte.   - 
        Deuxième palier : JAUNE    |  |