JOURNAL D'UN PLASTICHIEN

Samedi 15 novembre

Off-shore of course

Ce matin, c'est le jour de la séance de off-shore en chambre, à nos yeux trop lents, ces bolides marins présentent peu d'intérèt et surtout pas esthétique ; Alors pourquoi les peindre ?
Pour gagner de l'argent en vendant les images à Saint-Tropez : pourtant, même en duo, c'était si parfaitement ennuyeux que la série s'interrompit de suite car ce chantier naval n'avait pas d'avenir.
Adieu Saint-Trop, hors-bord, argent et gros nénés ...

 

 
 


Par une chaude après-midi d'été, Peldugland et son assistante peignent des off-shore,
en haut, le premier bateau en train de sécher :
"C'est à peu près le contraire de quelque chose de beau !" conclut le plastichien qui préfère les escargots terrestres

 

 
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