JOURNAL D'UN PLASTICHIEN

 

Lundi 25 janvier

Travailler par terre

 

Le plastichien travaillait toujours par terre jusqu'au jpur où il eût le dos comme une planche de bois mort.

 

Du matin...

...jusqu'au soir.

Il en a des cales aux genoux et de la corne à la main gauche sur laquelle il s'appuie, une affreuse gymnastique.

Rester penché, même un instant,
devenait impossible sans ressentir
comme un coup de couteau dans ses reins fossilisés ;
il en avait vraiment plein le dos !

Il devait regarder la réalité de face et affronter (l'efronté) ses paveintavures verticales.

 

 

 
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