| La boucle étant 
        bouclée (et les harnais attachés), passons à mademoiselle Lafondue, 
        suissesse du Balais (pardon, du Valais). Mais que fait donc une helvète dans la " Défiguration française" ?
 Vous vous posez trop de questions, d'abord l'art ne connaît pas de frontières 
        ; bien dit !
 Ensuite c'est la principale caractéristique des mouvements artistiques 
        de regrouper des gens qui n'ont pas grand-chose à voir ensemble et qui 
        bien souvent ne se connaissent même pas.
 Pourquoi ?
 
 Pour faire nombre 
        (a) ou bien ... Pour faire joli (b) ou bien ...
 Pour les besoins de la publicité (c)
 Cochez votre ou 
        vos réponses.  Ou bien simplement 
        par erreur comme c'est sans doute le cas ici. En effet, mademoiselle Lafondue est née à Sion* où elle vit, travaille 
        et expose toujours et encore.
 La dernière exposition de ses grands dessins s'intitulait " Des figures 
        à Sion " d'où la confusion que d'ailleurs personne n'a remarqué tant la 
        logique et le sens critique sont à leur plus bas niveau depuis, disons, 
        l'invention du fil à couper la fondue.
   Les figures 
        à Sion à l'origine de la confusion.  * Sion : à 
        ce propos, signalons que son amie d'enfance Lafèle (quel joli nom d'artiste) 
        expose en ce moment dans cette charmante petite ville.
 " J'allais 
        le dire et vous me l'avez ôté de la bouche !" Ajoutons encore pour bien enfoncer le clou que sa grand-mère tenait une 
        boutique de fallafèles (et de souvenirs) à Sion donc.
 
        
          |  | Deux " défigurations 
              " franco-suisses.  |  |      
         LA REVOLTE-FACE 
          Peldugland est 
        fou furieux, il ne supporte pas d'avoir été exclu de la " Défiguration 
        française " à laquelle il se consacre autant (sinon plus) que beaucoup 
        d'autres. 
 
         
          |  | Passons 
            ... non, ne passons pas ! Quand à la présence d'une suissesse une fois ... no comment.
 Il pense aller à la Fondation tuer tout le monde, et il est bien parti 
            pour ça.
 " Par qui je vais commencer ? "
 |  
          | Chemin faisant, 
            il imagine la scène de son futur massacre. |  
        
          |   Puis il 
              changea d'avis et décida de se battre avec ses propres moyens.  SON propre moyen en fait 
              (car il n'en avait qu'un) : la paveintavure.Le plastichien accrocha alors ses images partout dans la ville :
 
 sur les cages d'escaliers 
              moisies de l'intétérieur,  
 sur les chantiers déserts 
              et poussiéreux,  |  
              sur les bars à vins 
                de table,  
 sur les maisons " vertes " (avec éolienne)
   |  et jusque sur 
        les mignons cabanons péri-urbains. 
         
        
          |  | " Partout 
              j'écris ton nom : refusé* ! " Avec l'aide de Paul et Luarre (et de leurs escabeaux).
 * refusé 
              : C'était le nom que Peldugland s'était donné en hommage à ses glorieux 
              aînés dont il cherche vainement la trace.  |    |